Tellement vrai BF

Le constat est fait que dans notre pays,il n’existe aucun règlement sur l’emplacement et le choix des sites où l’on peut exercer son petit commerce de survit (vente de : sandwich, beignets,  riz….).Par contre les choix de ses sites pose un grand problème sur la sécurité des commerçants et la santé des consommateurs. Sans un encadrement par les institutions, il nous sera difficile d’espérer à une quelconque émergence.

De plus en plus, les vendeuses de nourritures sont nombreuses au bord de la rue. Le problème est lié à leur installation et au manque d’hygiène de la nourriture qu’elles vendent. La situation est alarmante et choquante car ce manque d’hygiène se constate depuis la préparation jusqu’à la vente des nourritures. Du vendeur (se) de beignets aux vendeurs (ses) de riz,aucun ne fait exception : la nourriture exposée à la poussière, les mouches, les saletés….les principales victimes demeurent les consommateurs qui finissent par tomber malades.

Le Burkina Faso fait l’objet d’une augmentation du taux de maladies liées aux microbes telle la fièvre typhoïde dues à la consommation des aliments mal entretenus. Selon le rapport de l’OMS, près de 21 millions de cas recensé et 216.000 à 600.000 décès lié à la fièvre typhoïde.

Pourtant, le système est mis en place pour que tout aille pour le mieux à savoir un service d’hygiène qui a pour rôle de régulariser et de contrôler les situations d’insalubrité.Une police municipale pour la gestion et l’encadrement des sites à occuper. On a même assisté à des opérations ou la police municipale faisait la saisie  des matériels des vendeurs de la rue. Mais en ce qui concerne le commerce alimentaire de la rue, jusqu’à présent, aucune action n’a été menée.

On attend vos réactions et vos suggestions sur ce sujet si préoccupant.

Pamela DIAO/ Djamila KAMBOU

De 2010 à 2017 le prix de parking moto est passé de 50f à 100f par moto. Cette situation n’est plus un secret pour les motocyclistes qui  se voient débourser la modique somme de 100 CFA à chaque fois qu’ils doivent s’arrêter à un endroit lorsqu’ils effectuent  leurs courses. Le plus étonnant c’est que ces parking naissent dans tous les endroits de la ville .Depuis les  marchés en passant par les services sanitaires jusqu’aux institutions, les parqueurs de moto se présentent partout et donne  l’impression de l’obligation de parquer. Pourtant on le voit, les automobilistes échappent à cette situation et l’on pourrait même croire que les parkings ne sont faits  que pour les motos.

Quelle est la raison de ce changement brusque ? Ou passent toute les ressources liées à  ce changement ? Réagissez tout en posant des questions qui vous préoccupent.

Pamela DIAO / KAMBOU Djamila